19 | Homepage von Michael Engelbach- |
Engelbach
im Elsaß Engelbach en Alsace Engelbach in Alsatia |
![]() Straßburger Münster |
![]() Rosette |
![]() Münsterfassade |
Familienchronik
Engelbach 1697 |
Engelbach im Elsaß | Verwandschaft Engelbach - Goethe | Philipp Jacob Hennenberg | Hanauerland |
Graf Johann Reinhard |
0. Willkommen 1. Neuigkeiten 2. Spurensuche 3. Bilder 4. Who is who? 5. Studium in Marburg 6. Studium in Gießen 7. Studium Straßburg 8. Studium in Jena 9. Studium Wittenberg 10. Studium in Göttingen 11. Studium Heidelberg 12. Studium in Erlangen 13. Studium in Tübingen 14. Studium in Paris 15. Dissertationen 16. Leichenpredigten 17. Autoren 18. Maler 19. Engelbach im Elsaß 20. Biedenkopf 21. Engelbach in Rußland 22. Interessante Links 23. Nützliche Tools 24. Haftungsausschluß 25. Fotoalbum 50. Literaturverzeichnis |
"famille qui a donné à l'Alsace des pasteurs et des administrateurs. Originaire de la Hesse, où elle apparaît à Biedenkopf au XVIe siècle." (Christian Wolff) 1. Georges Engelbach, * Büdesheim lès Friedberg en Wetteravie, Hesse, vers 1629, + Neuwiller 3. 11. 1678. fils de Johann Jacob Engelbach, prévôt et "Untergrefe", et de N. Kern. Se marie le 30. 10. 1655 à Bouxwiller avec Marguerite Wegelin, fille du pasteur de Kork, Bade. Immatriculé au Gymnase protestant de Strasbourg comme pauvre en 1648 et à la Faculté de Théologie en 1649, pasteur à Ernolsheim lès Saverne (1655 - 1666), puis à Neuwiller lès Saverne et Imbsheim (1666 - 1678). 2. Georges Jacques Engelbach, * Ernolsheim ? vers 1656, + ? vers 1723. Fils de 1., se marie le 13. 11. 1679 à Westhoffen avec Marie Madeleine Moller, fille de Jean Conrad Moller, trompette et capitaine-châtelain du Lichtenberg. Trisaieux de l'ami de Goethe, Christian Lerse. Receveur du bailliage et receveur ecclésiastique de Westhoffen pour les comtes de Hanau- Lichtenberg, puis conseiller de chambre du comte de Linange-Falckenbourg à Heidesheim am Rhein, Palatinat. 3. Jean Michel Engelbach, * Ernolsheim? 23. 11. 1658, + Bischwiller 23. 12. 1722. Frère de 2., se marie le 13. 6. 1690 à Bischwiller avec Anne Marie Lang, de Strasbourg, veuve de J. Philippe Reichardt. Conseiller et receveur des rentes des princes palatins de Sponheim à Bischwiller, il laissa une fortune de 17.000 livres. 4. Jean Jacques Engelbach, * Westhoffen 1. 12. 1692, + Bouxwiller 31. 3. 1737. Fils de 2., se marie le 6. 5. 1721 à Bouxwiller avec Catherine Sophie Rischke (12. 12. 1773), fille d'un bailli du Brandebourg. Etudes primaires et secondaires au Gymnase de Bouxwiller, immatriculé en Faculté de Théologie de Strasbourg en 1708, à celle d'Iéna en 1714, il voyagea et fut ordonné en 1718 à Bouxwiller. Pasteur adjoint à Allenwiller en 1718, pasteur en titre à Eckartsweier, Bade, en 1719, "diacre" (1721), puis pasteur et "Spezial" (surintendant des églises et des écoles) du comté de Hanau- Lichtenberg en 1736. Adepte du piétisme, mouvement de réveil religieux fondé par Spener, il publia à Strasbourg en 1736 sous le titre évocateur, inspiré de Zinzendorf, "Girrendes Täublein in einem Gesangbuch alter und neuer Lieder", un recueil de cantiques, repris dans le recueil de Heiler de 1696 et dans celui de Freylinghausen, en usage en Allemagne. Introduit officiellement dans le comté, il fut réédité avec un livre de prières en 1738, 1741, 1744, 1764 et 1768 à Strasbourg et en 1767 à Pirmasens. Son fils Jean Jacques (* Bouxwiller 21. 3. 1722, + Bouxwiller 29. 6. 1770) fut avocat à la Régence depuis 1747, nommé archiviste de la Chancellerie en 1764 et conseiller de Chambre en 1766, et père de Jean Regnard (Bouxwiller 21. 4. 1748), secrétaire de la Chambre des finances de 1771 à 1792, conseiller depuis 1779, dont la postérité se fixa à Birmingham. 5. Jean Conrad Engelbach, * Westhoffen fin XVIIe s., + Oberbronn 17. 8. 1758. Frère de 4. D'abord (1730) receveur des comtes de Linange à Heidesheim am Rhein, puis conseiller de la chambre des finances et enfin président du conseil de Régence du comté de Hanau-Lichtenberg à Bouxwiller. Partageant les convictions piétistes de son frère, il en fut le continuateur. Entretenant une correspondance active avec le comte de Zinzendorf, il se fit envoyer par lui un précepteur pour ses enfants, Meissner, qui joua un rôle marquant dans l'enseignement religieux du comté. La faveur croissante dont jouit dès lors l'esprit des Frères moraves dans les paroisses du ressort et même au-delà, gagnant peu à peu les familles des hauts fonctionnaires et des pasteurs, inquiéta le Couvent ecclésiastique luthérien de Strasbourg. Dirigé par le théologien Froereisen, celui-ci parvint à convaincre le landgrave héritier de Hesse-Darmstadt de limiter l'influence du piétisme, si ouvertement propagé par Engelbach. Ce dernier, qui refusait de retirer ses filles d'un pensionnat morave à Marienborn, Saxe, fut congédié en 1749. Il obtint un poste de conseiller à la chancellerie des princes de Hohenlohe à Oberbronn, sans renoncer à ses tendances religieuses. L'un des princes, grand juge de la Cour impériale de justice de Wetzlar, l'y emmena de juillet à décembre 1753. 6. Anne Marie Engelbach, + Strasbourg. Fille de 3., se marie le 9. 12. 1716 à Strasbourg avec Elie Brackenhoffer. 7. Jean Philippe Engelbach, * Bischwiller 11. 7. 1697, + Bischwiller 21. 3. 1762. Frére de 6., se marie le 1. 6. 1720 à Bischwiller avec Anne Marie Simon, fille d'un conseiller aulique et de Régence des princes palatins de Deux-Ponts. Immatriculé au Gymnase protestant de Strasbourg en 1705 et à la Faculté de Philosophie en 1712, il entra comme assesseur à la chambre des finances des mêmes princes à Bischwiller et y devint receveur des rentes. 8. Chrétien Charles Casimir Engelbach, * Bischwiller 3. 6. 1723, + Bischwiller 26. 12. 1762. Fils de 7., se marie le 6. 12. 1762 à Bischwiller avec Frédérique Caroline Christiane Schuch. Exerca les mêmes fonctions que son père. 9. Jean Philippe Daniel Engelbach, * Bischwiller 18. 7. 1727, + Deux-Ponts 14. 8. .1791. Frère de 8., se marie le 27. 12. 1756 à Winterbach, Palatinat, avec Philippine Hellwig. Conseiller de la chambre des finances à Deux-Ponts. Son fils Frédéric Charles Engelbach fut conseiller d'Etat du tsar de Russie. 10. Jean Frédéric Engelbach, * Bischwiller 8. 11. 1730, + Strasbourg 1. 9. 1802. Frère de 9, se marie le 12. 12. 1762 à Oberhoffen sur Moder avec Jeanne Sophie Claudine Hesser, d'origine prussienne (+ 1763); se marie le 18. 7. 1771 à Neuwiller lès Saverne avec Elisabeth Augusta Messinger, fille d'un conseiller de Régence de Bouxwiller. Immatriculé en Faculté de Philosophie à Strasbourg en 1749, à Iéna en 1751. Régistrateur-archiviste et conseiller de la Régence, secrétaire du consistoire du comté de Hanau-Lichtenberg, il se retira à Strasbourg après 1792. 11. Frédéric Auguste Engelbach, * Bouxwiller 15. 4. 1772, + Strasbourg 4. 3. 1826. Fils de 10., se marie le 23. 4. 1804 à Strasbourg avec Catherine Hennenberg, fille du diplomate Philippe Jacques Hennenberg. Etudes secondaires au Gymnase de Bouxwiller, supérieures à Göttingen (1789 - 1794) et à Erlangen (1791), licence en droit. Membre du club des Jacobins (1792), rédacteur au "Weltbote" (1793 - après 1800), secrétaire rédacteur (1798), puis avocat-avoué (1805) près le Tribunal civil de Strasbourg. Il a laissé un carnet de notes intéressantes sur le siège de 1814. 12. Charles Jules Engelbach, * Strasbourg 29. 6. 1812, + Rothau 14. 8. 1866. Fils de 11., se marie le 18. 2. 1850 à Strasbourg avec Louise Steinheil, fille de Gustave Steinheil, négociant et manufacturier, et soeur de Mmes Dieterlen et Boegner. Immatriculé au Gymnase protestant en 1819, puis en Faculté de Droit (doctorat en 1834). Avocat et avoué à Strasbourg, il collabora au Courrier du Bas-Rhin" pour les questions d'économie sociale. Commis à la Préfecture en 1842, chef du bureau de l'Instruction publique en 1846, il se mêla à la campagne des banquets en 1847. Républicain saint-simonien, il devint en 1848 adjoint au maire et secrétaire du Comité central des républicains; conseiller de préfecture de 1848 à 1851. Le coup d'Etat du 2 décembre 1852 le détermina à quitter toute fonction administrative et il prit une part d'associé dans un commerce de houille. Membre et secrétaire du consistoire du Temple Neuf. Sa veuve opta pour la France en 1872, mais finit ses jours à Rothau. Leur postérité s'établit au Havre, à Paris et à Guebwiller. 13. Georges Jacques Engelbach, * Auenheim, Bade 24. 10. 1709, + Herrenhut, Saxe 12. 11. 1768. Fils de Georges Jacques Engelbach, pasteur, et de Marie Sibylle Michaelis, et petit-fils de 2. Etudes secondaires au Gymnase de Bouxwiller, supérieures à la Faculté de Philosophie de Strasbourg (1725), à Wittenberg (1727) et à Halle (1728). Successivement prédicateur à Bouxwiller (1733 - 1734), "diacre" à Ingwiller (1734 - 1735), pasteur à Wissembourg (Saint-Michel) et Schweigen, Palatinat, de 1735 à 1751, il dut renoncer à ce poste à la suite de difficultés suscitées par son adhésion au piétisme et à la création d'un conventicule d'une cinquantaine de personnes. Prédicateur à la Cour des Wildgraves du Rhin à Gaugrehweiler, Rhénanie-Palatinat, et inspecteur ecclésiastique (1751 - 1756), il rejoignt en 1758 la Communauté des Frères moraves fondée à Herrenhut par le comte de Zinzendorf. (Christian Wolff, dans: "Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, no 9, Strasbourg 1986") Francois Chrétien Lerse, * Bouxwiller 9. 6. 1749, + Vöslau près de Vienne, Autriche, 15. 6. 1800. Fils de Philippe Jacques L., membre du consistoire et conseiller du Landgrave de Hesse-Darmstadt, comte de Hanau-Lichtenberg, et de Suzanne Barth. Etudes secondaires au Gymnase de Deux-Ponts, supérieures de théologie, d'histoire et de sciences naturelles aux universités de Leipzig et de Giessen. Immatriculé le 8. 6. 1770 à la Faculté de Théologie de Strasbourg. Membre de la société littéraire animée par J. D. Salzmann, où il se lia d'amitié avec Jung-Stilling et Goethe, qui l'immortilisa dans un des personnages de "Götz von Berlichingen" (1773) en gardant son nom. En octobre 1771, Lerse prononca le discours de circonstance lors de la "journée de Shakespeare". Il devint ensuite précepteur des fils de Chrétien-Frédéric Pfeffel, diplomate et conseiller à la cour royale de Versailles. En 1776, il fut appelé à Colmar par Conrad-Théophile Pfeffel, frère cadet du précédent et fondateur de l'Académie militaire. Professeur de langues vivantes, d'histoire et de tactique, puis directeur-inspecteur de l'Académie militaire, Lerse s'intéressa aussi à l'histoire locale et à l'art (il avait acquis une importante collection de tableaux et de gravures). Membre en 1778 de la Société littéraire protestante de Colmar, où il donna des conférences, notamment le 24. 1. 1781, sur le retable d'Issenheim qu'il attribuait, par erreur, à Dürer. En 1790, Lerse commanda un bataillon de la Garde nationale de Colmar, tout en continuant à participer à la vie culturelle de la ville. Le 23. 12. 1790 il fut admis à la Tabagie littéraire de Colmar. Devenu ensuite bibliothécaire et secrétaire du district, il intervint en octobre 1792 pour souligner auprès des responsables politiques l'intérêt de conserver les peintures anciennes des églises de Colmar et des Antonites d'Issenheim; il sauva ainsi le retable peint par Grünewald. En raison de l'évolution du climat politique, Lerse démissionna de ses fonctions dans la Garde nationale, puis d'archiviste et de bibliothécaire du district de Colmar, le 1er février 1793 (il avait été nommé à ces postes après la fermeture de l'Académie militaire en 1792). Il quitta ensuite l'Alsace, sans toutefois figurer sur la liste des émigrés du Haut-Rhin. Il s'établit à Vöslau près de Vienne, où il entra au service de la comtesse Anne de Fries, veuve de Jean de Fries, comme précepteur de son fils Maurice. Il accompagna ce dernier à l'Université de Leipzig et entreprit jusqu'en 1797 des voyages d'études avec lui (Dresde, Berlin, Weimar). A son retour à Vöslau, il s'occupa de la collection de tableaux et de monnaies de la comtesse Anne de Fries. (Philippe Legin et Walter E. Schäfer, dans: "Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, no 24, Strasbourg 1995") Gottlieb Engelbach, * Zweibrücken 29. 3. 1747, Bürger, Kaufmann (ab 1776 Teilhaber des Bankhauses Schmid) und Ratsmitglied in Frankfurt, und andere; Mémoire présenté à la Convention nationale par les députés de Francfort-sur-Mein, concernant la contribution militaire de deux millions de florins, imposée à ladite ville au nom de la République francaise, 1792; Mémoire des députés de Francfort à la Convention nationale au sujet de la reprise de cette ville par les troupes allemandes, 1793 Charles Jules Engelbach, * Straßburg 21. 7. 1812, + Rothau, Elsaß 14. 8. 1866, Jurist ("Thèse pour la licence...Ius romanum: de acquirenda vs committenda hereditate; Droit francais: du bénéfice d'inventaire, Paris 1834"), "avocat, conseiller de la préfecture du Bas-Rhin à Strasbourg, secrétaire en chef de la mairie de Strasbourg en 1847, maire adjoint en 1848, républicain (Révolution de 1848)" Gottlieb Ludwig Engelbach, * Buchsweiler, Elsaß 29. 9. 1775, + Darmstadt 1. 6. 1852, Kriegskommissar bei der englischen Armee in Ägypten 1797, englischer Rechnungskammer-Inspektor, Schwiegervater des hessen- darmstädtischen Innenministers und Ministerpräsidenten Friedrich von Bechtold, lebte als Pensionär in Darmstadt (Neckarstraße E 136), seine Grabrede vom 3. 6. 1852 ist erhalten; die meisten englischen Engelbachs sind seine Nachkommen Friedrich August Engelbach, * Buchsweiler, Elsaß 15. 4. 1772, + Straßburg 4. 3. 1826, Jurist, Studium in Erlangen ab 27. 4. 1791, in Giessen ab 25. 10. 1793, in Göttingen ab 7. 5. 1794, Advokat in Straßburg (siehe oben: no 11.) Friedrich Karl Engelbach, * Zweibrücken 30. 10. 1768, + Homburg/Saar (?) 20. 6. 1835, "königlicher Steuereinnehmer, 1792 Bauschreiber am Hofe der Fürsten zu Zweibrücken auf Schloß Karlsberg, Kirchenvorsteher in Homburg/Saar", später "Staatsrat des Zaren von Rußland in Sankt Petersburg" (conseiller d'Etat du tsar de Russie) Johann Friedrich Engelbach, * Bischweiler, Elsaß 8. 11. 1730, + Straßburg 1. 9. 1802, Studium in Jena von 1751 bis 1753, "archiviste du Conseil de Régence de Bouxwiller pour les princes de Hesse-Darmstadt et secrétaire du Consistoire" Philipp Jacob Hennenberg, * Straßburg 2. 6. 1719, Straßburg + 7. 11. 1795, Diplomat, Botschafter König Ludwigs XV. an den Höfen von Bayreuth und Cassel ("ministre de Louis XV à la Cour de Bayreuth et de Cassel") Johann Philipp Engelbach, * Straßburg 1. 11. 1697, + Buchsweiler, Elsaß 21. 3. 1762, Studium in Straßburg (1712) und Jena (1714), "conseiller antique, receveur seigneurial des rentes pour les princes palatins de Birkenfeld a Bischwiller" (Kammerassessor in Bischweiler) Johann Michael Engelbach, * Bischweiler, Elsaß 23. 11. 1659, + Bischweiler, Elsaß 23. 12. 1723, Rentmeister und Kammerassessor für die Prinzen von Birkenfeld in Bischweiler von 1690 bis 1723, Verleihung eines Wappens durch König Ludwig XIV Georg Engelbach, * Büdesheim, Hessen 1629, + Neuweiler, Elsaß 3. 10. 1678, Theologie-Studium in Straßburg ab 27. 3. 1649, Pfarrer in Ernolsheim 1655 - 1666 und Neuweiler 1666 - 1678, Begründer der französischen Engelbach-Linie Johann Jacob Engelbach, * Klein-Karben, Hessen 1596, + Büdesheim, Hessen 28. 12. 1679, "écuyer de Guillaume de Carben et greffier-adjoint à Friedberg en Vétéravie" Johannes Engelbach, * Heidelbach (?) bei Alsfeld um 1564, + Klein-Karben, Hessen 1635, immatrikuliert im Pädagogium Marburg 1579, Pfarrer in Klein-Karben 1587, noch 1630, Präses in Giessen und Verfasser von Leichenpredigten Caspar Engelbach, * Dautphe bei Biedenkopf um 1530, + Heidelbach bei Alsfeld um 1568, Schuldiener in Ziegenhain 1558 - 1564, Pfarrer in Heidelbach 1565 - 1568; erster namentlich bekannter Vorfahre der französischen Engelbach-Linie Branche alsacienne: - Alphabetische Familienliste/Liste alphabétique/Alphabetical list - Caspar Engelbach: Nachkommenliste/Liste des descendants/List of descendants - Caspar Engelbach: PAF-Datei ohne/sans téléchargement/without download |
![]() Charles Jules Engelbach ![]() Maison Engelbach, 10 quai Finkwiller, Strasbourg Nachruf auf Friedrich August Engelbach In: "Zeitgenossen: Biographien und Charakteristiken", von Friedrich August Koethe und Friedrich Arnold Brockhaus ![]() Graf Johann Reinhard ![]() Schloß Lichtenberg im Hanauerland ![]() Philipp Jacob Hennenberg |
||
(C)
Mengelb@ch 11. 1. 2006 |
Diese Website wurde gestaltet mit der Software von Nvu (März 2006) | web.de |